Ile était une fois ...
- Reni Andcam
- 21 janv. 2015
- 1 min de lecture

Passage de la frontière à Caye Ambergis, la isla bonita interprétée par Madonna.
Don't worry, be happy.
Aucun contrôle.
Le seul mot d'ordre, qui peut sembler infantilisant : faire une belle file indienne dans l'ordre des numéros qui nous sont affectés.
Une pluie nous éparpille et oblige la douanière à veiller à une parfaite reconstitution à l'abri.
Ile était une fois ...
Caye Caulker.
Une île de sept kilomètres de long et à peine 600 mètres de large, aux plages coraliennes cernées de cocotiers câlins.
"No shoes, no shirt, no problems"
"Go slow"
"Nous ne travaillons pas aux heures durant lesquelles nous buvons"
Tels sont les mots d'ordre ici.
Travailler, c'est trop dur.
6 heures 30 - 10 heures ; 18 heures - 21 heures.
Tels sont les horaires ici.
Les pieds nus traînent sur les rues en sable dépourvues de voitures et dansent le reggae.
A peine, quelques voiturettes de golf et vélos paressent lentement.
Une importante population noire, descendante des esclaves importés de la Jamaïque et de Saint-Vincent.
Quelques descendants de Bob Marley et d'Hailé Sélassié.
Une réelle impression d'être en Afrique.
Les maisons créoles en bois construites sur pilotis et le rhum punch nous rappellent que nous sommes dans les caraïbes.
Nager avec les tortues, les raies et les requins nourrices est chose que nous puissons faire.
Les sourires béants sont contagieux et la gaïté communicative.
Les poings accueilants se saluent.
L'ambiance nonchalante fait le charme et la quiétude de cet îlot de langue anglaise perdu dans un océan latino-américain hispanophone.
Une belle cure de calme et de langoustes dont vous n'avez cure, dans une île au soleil ...
Cam.
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